En Laponie, il est impossible de ne pas voir de rennes. On les trouve le plus souvent au milieu de la route ou sur des parkings ou ils peuvent échapper aux moustiques et aux mouches. Lorsqu’il vente, les moustiques disparaissent de la taïga et laissent place aux rennes.
Moi qui pensais ne jamais avoir l’occasion de la rencontrer, la voila devant moi, mangeant des myrtilles, sure de son camouflage, seulement trahie par le mouvement des branches de myrtilliers.
Un jeune cingle plongeur affamé. En passant près d’un ruisseau, ce sont ses cris qui m’ont permis de le localiser alors que sa mère cherchait de la nourriture un peu plus loin.
Au pied des Tunturis (montagnes arrondies de quelques centaines de mètre de haut), la rocaille et les lichens laissent place à des bouleaux de petite taille, il s’agit d’un des biotopes du gorgebleue à miroir.
Lors de randonnées, on rencontre régulièrement le mesangeai imitateur. Bien moins timide que son cousin le geai des chênes, il suffit juste de faire du bruit pour l’attirer.